Construction d'un pôle médical

Le pôle santé prend forme

En juillet 2024 eut lieu la pose de la première pierre du Pôle santé.

Les partenaires, le Maire de Collioure, la Présidente de l’OPH66, l’architecte Maxime Querol et leurs équipes respectives ont dévoilé les grandes lignes de la future résidence aux formes épurées et fonctionnelles, parfaitement intégrée dans l’environnement.

Un soin particulier a été porté à la localisation du projet afin de permettre aux habitants d’accéder rapidement à une offre de soin qualitative. La conception des locaux a été  faite en accord avec les praticiens afin de leur offrir des locaux adaptés à leurs besoins.

Situé sur le quartier Gare, comme l’équipe municipale s’y était engagée au cours de la campagne électorale, le Pôle Médical devrait être ouvert avant la fin de l’année 2025.

Confier à l’OPH 66 la réalisation du pôle médical résulte d’un choix politique délibéré. C’est un établissement public transparent, contrôlé par la Chambre régionale des comptes.

La mairie ne pouvant supporter en régie le coût d’un tel établissement (4Millions d’euros ), la construction et la gestion interne appartiennent en direct à l’OPH avec obligation contractuelle que cet édifice soit affecté à l’activité médicale.

Le choix des praticiens est en cours, le maire est accompagné dans cette mission par un assistant en maîtrise d’ouvrage spécialisé.

Le prix de vente du terrain sur le site de la gare a été fixé en fonction de l’estimation de France-Domaine et réinvesti dans l’acquisition de l’ancien cabinet du Docteur Dunyach (temporairement affecté à un nouveau médecin).

Les places de parking libérées pour le pôle santé ont été reconstituées au fond de l’entrepôt de la gare, permettant à la municipalité de maintenir le patrimoine communal sans obérer le stationnement.

Le site du Pôle santé de Collioure prendra le nom de Place Docteur René Garrigue médecin humaniste (1930-2016), du nom d’un médecin bien connu des « anciens » Colliourenc. Grand joueur de rugby, en 1955, c’est lui qui marque l’esai qui permet à Perpignan, avec l’USAP, d’être champion de France . Il récidivera avec le Collioure sportif en 1960. Après ces victoires, il s’engage dans une ONG au Maghreb pour des missions humanitaires avant de revenir comme médecin généraliste à Collioure où il exerce de 1955 à 1961 où ses compétences, son humanisme et sa gentillesse font le bonheur des patients.